LA DECOUVERTE MIRACULEUSE DU CORPS DE SAINTE ANNE A APT
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LA DECOUVERTE MIRACULEUSE DU CORPS DE SAINTE ANNE A APT Empty LA DECOUVERTE MIRACULEUSE DU CORPS DE SAINTE ANNE A APT

Message  Invité Sam 3 Juil 2010 - 5:27



La découverte miraculeuse du corps de Sainte Anne à Apt (Département du Vaucluse en France), Pâques 792



Le 25 décembre 800, Charles I er dit Charles le Grand (en latin « Carolus Magnus », qui se traduit en français par « Charlemagne ») alors roi des Francs (entre 768-814) et des Lombards par conquête (entre 774-814), est sacré Empereur d’Occident par le Pape Léon III dans la Basilique Saint Pierre de Rome. En remerciement des services rendus à la papauté, notamment par sa victoire sur les Lombards, et l’accueil qu’il reçu auprès de Charlemagne après son emprisonnement à Rome en 799, le souverain pontife lui attribue le titre inédit d'« Empereur des Romains ».



Pour faire suite à ce bref rappel historique, l’évènement qui nous intéresse est la découverte du corps de Sainte Anne à Apt, de façon tout à fait miraculeuse et inattendue.

Pouvons-nous nous rendre compte de la grâce que le Ciel accorde ce jour là à la Sainte Eglise de Dieu et l’ensemble du peuple chrétien. Rien de moins que le Corps de Sainte Anne qui par prolongement de la maternité de la Très Sainte Vierge Marie, n’est autre que notre grand-mère à tous !



Ainsi, à la date du 26 juillet, jour de la fête de Saint Anne et Joachim, pages 39 et 40 du 9 ième tome des « Petits Bollandistes », nous est précisé que « Charlemagne vint séjourner à Apt aux approches de la fête pascale, après avoir pacifié la Provence par la défaite des Sarrasins, dans la plaine qui s’étend entre la montagne de Cordes et la colline de Montmajour. Le souvenir de cette bataille, où la dernière espérance de l’islamisme fut détruite, s’est conservé dans une inscription de l’église de Montmajour-lez-Arles.



Le premier soin de Charlemagne, après son arrivée à Apt, fut de faire reconsacrer par Turpin [alors archevêque de Reims] l’église cathédrale qui avait été polluée par un culte impie. Tandis qu’un concours extraordinaire de grands seigneurs et de peuple assistait à cette solennité, et pendant que la population répandue à l’entour rendait à Dieu, dans son ravissement, des louanges à l’occasion de son sanctuaire restitué, le Seigneur, enveloppant de son amour les vœux pieux de la cité et la foi ardente de Charlemagne, découvrit, par un miracle éclatant et une faveur inespérée, le trésor inconnu des reliques de Sainte Anne.



Un jeune homme du nom de Jean, âgé de quatorze ans, aveugle, sourd et muet de naissance, fils du baron de Caseneuse, était présent dans le sanctuaire. Pendant quelque temps, on vit ce jeune homme paraître écouter un certain avertissement céleste. Bientôt il commença, en frappant sur une levée de degrés menant au maître-autel, à faire signe qu’on creusât profondément le sol, afin que, les degrés enlevés, on vit ce qui était peut-être caché dessous. L’office divin était troublé par là, sans qu‘il fut au pouvoir des gardes ni des autres officiers de retenir ce jeune homme. Cependant, tous les assistants étant surpris par la nouveauté du fait, le prince, présageant un miracle, donna ordre de se conformer aux vœux si vivement exprimés par l’adolescent.



On enlève à l’heure même les marches de la montée indiquée, et on découvre aussitôt une porte fermée de grosses pierres qui fait présager quelque chose de remarquable. Les ouvriers ayant ouvert cette porte à coups de marteau, on vit une entrée et une descente de degrés qui conduisit dans une grotte souterraine artistement travaillée. C’était la crypte où le bienheureux Auspice, apôtres des Aptésiens, avait coutume de nourrir par la parole sainte et les Sacrements le peuple qui lui était confié.



L’aveugle Jean marchait le premier, indiquant le chemin avec une telle sûreté, que Charlemagne fut obligé de le faire tenir près de lui pour qu’il ne fût pas foulé aux pieds des curieux. Le jeune homme faisait toujours comprendre du geste qu’on creusit plus avant la terre à la partie du mur qu’il signalait. On descendit enfin dans un souterrain long et étroit ; mais là une lumière extraordinaire apparaissant entoura les assistants. La crypte inférieure étant enfin ouverte, tandis que tous, pleins d’admiration, regardent une lampe ardente placée devant une sorte d’armoire murée, le roi lui-même, le clergé et les grands de la cour, accourent tout joyeux vers la mystérieuse clarté, qui s’éteignit aussitôt au contact de l’air.



Chose admirable ! Voilà que Jean, ayant tout à coup les yeux ouverts, ainsi que les oreilles, et la langue déliée, s’écrie : « Dans cette ouverture est le corps de Sainte Anne, mère de la très-sainte Vierge Marie, Mère de Dieu ».



Tous les spectateurs, remplis d’étonnement, poussent mille acclamations de joie. Cependant le très-pieux roi ordonne d’ouvrir la niche. Aussitôt une odeur semblable à celle d’un baume de répand, et le dépôt sacré, attesté par un si grand miracle, apparaît renfermé dans une caisse de cyprès, enveloppé d’un voile précieux, et certifié par cette inscription [que j’emprunte ici en latin, à la page 58 de l’excellent ouvrage d’Anne Brassié « Sainte Anne, de Jérusalem à Auray », qui décrit plus succinctement la même scène : « Hic est corpus beate Annae, matris virginis Mariae »] : « Ici est le corps de la bienheureuse Anne, mère de la Vierge Marie ». La caisse ouverte, une odeur suave se pépandit dans l’une et l’autre crypte pour la confirmation du miracle. L’archevêque Turpin, ayant pris la caisse, la mit entre les bras de Charlemagne pour la lui faire baiser en signe de joie et de consolation.



Le pontife rendit grâces à Dieu, auteur de cette miraculeuse invention [du latin « invenire » qui signifie « trouver »], qui avait manifesté le corps de l’aïeule du Christ pour être la protection et le secours de la ville d’Apt.



Charlemagne ordonna de faire consigner dans des écrits le récit de tous les faits, tels qu’ils s’étaient passés, et d’en référer au souverain pontife, de qui ils furent approuvés par un diplôme qu’il délivra. L’empereur, voulant néanmoins en instruire le premier [le] Pape Adrien, lui écrivit une lettre que l’on possède encore [Il s’agit du Pape Adrien I er élu le 9 février 772 et mort le 25 décembre 795].



Pendant la Révolution, les précieuses reliques conservées à Apt ne furent pas profanées. Une partie des dons offerts par les pèlerins échappèrent au bouleversement social et sont aujourd’hui l’ornement de la gloire de cette église.



C’est de la ville d’Apt que sont sorties toute les reliques de Sainte Anne, que l’on peut voir et vénérer maintenant ailleurs. Le couvent de la Visitation de Chartres a le bonheur de posséder une petite partie du chef de Sainte Anne ».



Après une longue et fastidieuse recherche dans le corpus des lettres latines rédigées par Charlemagne au Pape Adrien I er, cette fameuse lettre « que l’on possède encore » selon les « Petits Bollandistes » n’apparaît pas dans la version de référence dont je dispose, ce qui en soi, constitue généralement un élément allant à l’encontre d’une si grande découverte, notamment de la part des historiens.



C’est dans un ouvrage écrit en langue française, par P. Dupuy en 1886 que je l’ai finalement trouvée de façon inespérée. Cet ouvrage a été rédigé pour le sanctuaire de Sainte Anne de Beaupré au Canada, dont j’ai pu consulter un exemplaire numérisé.



Voici donc l’intégralité de la correspondance extraite des pages 26 à 31 de l’ouvrage :



« Charlemagne ordonna de consigner par écrits les faits tels qu’ils s’étaient passés et d’en référer au souverain pontife, Adrien, qui les approuva par un diplôme. Charlemagne voulut, en outre, en instruire lui-même le Pape par la lettre suivante que nous citons in extenso, a cause de son importance et surtout parce qu’elle est peu connue :



Charles, roi des Gaules, au souverain et romain pontife Adrien 1er, salut.



Après avoir entièrement purgé notre royaume des restes du paganisme, nous nous sommes arrêtés, en venant d’Aquitaine, avec Gérard, duc de Bourgogne, dans la ville d’Arles, où ayant remercié Dieu de nos victoires durant des fêtes de Pâques dernières, nous sommes ensuite retournés au pays de Narbonne, où nous avions déjà jeté les fondements de quelques églises et laissés des prédicateurs pour instruire le peuple chrétien. De là, nous étant rendus à Digne, nous avons ordonné d’en élever une en l’honneur de Notre-Dame ; puis, venant de l’antique cité d’Apt, le sieur baron de Caseneuve, qui s’était saisi en Gascogne de Hunaud, comte de Provence, nous a donné sa maison pour logis. Durant ce séjour que nous y avons fait pour reconnaître les dégâts des barbares idolâtres, nous avons fait reconsacrer l’église par Turpin, notre confesseur, et pendant que la cérémonie du service divin se faisait, nous aperçûmes le fils de notre hôte bien-aimé frappant continuellement avec une baguette une levée de degrés qui vont au maître-autel, et en donner de si rudes coups que l’office divin en était troublé, sans qu’il fut au pouvoir de nos gardes ni des autres officiers de notre cour d’empêcher ce jeune homme. Au contraire, tout aveugle, sourd et muet qu’il était, il persistait toujours à frapper, tellement que nous fûmes contraints de faire enlever à l’heure même des marches de cette montée, et aussitôt une porte formée de grosses pierres, que l’on découvrit, nous fit présager quelque chose de remarquable. Les ouvriers ayant ouvert cette porte à coups de marteau, nous vîmes une entrée et une descente de degrés qui nous conduisit dans une grotte souterraine artistement travaillée, dans laquelle il y a un autel soutenu d’une pierre antique où sont inscrits les noms de ceux qui, du temps des Césars, gouvernaient Apta Julia, l’une de leur colonies, et autour de l’autel étaient rangés douze sépulcres. Ce muet était si actif, que, nonobstant sa cécité, il devançait toujours les autres, tellement que nous fûmes obligés de le faire tenir près de nous pour qu’il ne fût pas foulé aux pieds des curieux courtisans. Le jeune homme faisait toujours signe de creuser plus avant. Nous descendîmes enfin dans une fosse longue et étroite, où nous aperçûmes une lumière qui s’éteignit aussitôt qu’elle eut pris l’air, et sur le champ, chose admirable ! Nous entendîmes ce noble sourd et muet s’écrier : Ici est le corps de Sainte Anne, mère de la pure et immaculée Vierge Marie. A l’instant nous sentîmes une odeur semblable à celle du baume, et nous vîmes dans une armoire enfoncée, une caisse de cyprès dans laquelle était le saint corps. Notre dit confesseur, l’ayant prise, la mit entre nos bras pour nous faire baiser en signe de joie et de consolation ; et après que nous eûmes satisfait notre dévotion, nous avons expédié ces lettres à Votre Sainteté ».



Le Pape Adrien 1er répondit en ces termes à la lettre de Charlemagne :



Adrien 1er, par la grâce de Dieu, pape, à Charlemagne, roi très-chrétien et premier fils de la Sainte Eglise



« Gloire éternelle soit rendue à Dieu, et le plus grand honneur à vous, sire, pour avoir remporté une si éclatante victoire et triomphé d’un peuple ennemi de la chrétienté, mais plus encore pour l’insigne faveur que notre Seigneur, dans son infinie bonté, vous a faite en vous rendant présent à la merveilleuse invention de la bienheureuse Sainte Anne, mère de la glorieuse Vierge Marie, et témoin de l’étonnant miracle qui s’est opéré dans la personne de ce gentilhomme de Caseneuve. Nous recommandons que ces saintes reliques soient conservées avec la vénération qui leur est due, et à vous-même d’être toujours rempli de zèle, le tout à l’honneur de la divine majesté et pour l’édification de votre peuple ».



Ces évènements firent naître dans la population les plus vifs sentiments de reconnaissance envers Dieu, et une profonde dévotion pour Sainte Anne qui depuis devint le palladium d’Apt. Charlemagne fut dès ce moment un des plus fervents serviteurs de la mère de Marie. Il fit ajouter le glorieux nom de Sainte Anne dans les litanies Carolines composées par le Pape Adrien à l’usage de sa chapelle particulière, et fit don à plusieurs églises de quelques portions des reliques de Sainte Anne ».



Tout au long des âges la Sainte Eglise a cru à ce fantastique évènement. Rappelons brièvement les principales sources dont nous disposons, à savoir, les bulles papales et les autres documents de références suivants :



Du « Guide de la France religieuse et Mystique », page 128 :



Mgr Dubreuil, archevêque d’Avignon, fait exactement le même récit de l’invention des reliques que celui présenté précédemment dans sa lettre pastorale, annonçant le couronnement de Sainte Anne en 1876, ce que par ailleurs, la note de bas de page qualifie de « fait exceptionnel, cet honneur étant habituellement réservé aux Madones les plus vénérées ».



D’un point de vue historique, le même guide ne manque pas de relever à la page 129, que :



« La crypte existe si bien qu’on peut la visiter encore aujourd’hui [ce que personnellement je n’ai pas manqué de faire, et atteste de la véracité de ce qui suit]. Elle ne mesure que 6 m2 et est manifestement gallo-romaine. Une niche, fermée par une grille, serait l’endroit où furent découvertes les reliques de Sainte Anne. Le plafond en est fait de deux dalles sculptées. L’une porte le palmier autour duquel s’enlace une vigne chargée de raisins. Or c’est précisément là l’emblème habituel de Sainte Anne. L’autre décorée de simples dessins géométriques, porte des "graffiti", caractéristiques du 8 ième siècle, où l’on peut encore déchiffrer des noms : ANTULFUS, ALIF (antus), ANSELMUS, ALBINUS, BERARDUS, qui sont incontestablement carlovingiens. L’histoire atteste, d’autre part, l’existence à Apt d’une communauté chrétienne dès les tout premiers siècles. Son premier évêque Saint Auspice, y subit le martyre. Ses successeurs officièrent clandestinement dans une sorte de catacombe, qui est sans doute la crypte mise au jour au temps de Charlemagne. Dès qu’elle fut révélée, de la façon que l’on sait, les pèlerins affluèrent vers le lieu où reposait la grand-mère du Christ. Papes et rois y vinrent en grande dévotion. Mais ce n’est qu’à la fin du 14 ième siècle que les reliques furent transférées dans une chapelle élevée en leur honneur, à côté du chœur de l’église. La cérémonie eut lieu le 21 avril 1392. Elles prirent leur place définitive, le 28 juillet 1664, dans une autre chapelle construite aux frais d’Anne d’Autriche, et qui porte encore le nom de chapelle royale. Le grand pèlerinage à Sainte-Anne d’Apt a lieu le 26 juillet ».



De l’ouvrage « La Vierge Marie dans l’histoire de France », page 21 :



« L'authenticité du corps de sainte Anne est reconnue et affirmée par plusieurs Bulles Pontificales, notamment par celles d'Adrien, de Benôit XII et de Clément VII. Ce dernier recommanda par Lettre du 30 Octobre 1533 la restaurantion de l'Eglise Sainte Anne d'Apt "où reposent les corps de plusieurs saints et notamment celui de Sainte Anne Mère de la glorieuse Vierge Marie". Les saints dont il s'agit sont: Saint Auspice, Saint Castor, Sainte Marguerite, Saint Elzéar de Sabran et Sainte Dauphine de Signe son épouse. Le souterrain, qui conserva pendant plus de sept siècles le corps de sainte Anne, est la seconde crypte de la basilique actuelle. La Reine Anne d'Autriche envoya à Apt une solennelle députation en pèlerinage pour obtenir un héritier pour la couronne. Elle y vint elle-même en pèlerinage avec une suite nombreuse, ordonna huit mille livres pour construire une chapelle plus digne des précieuses reliques, une statue de Sainte Anne en or et différents objets ornés de pierres préciesuses. Ajoutons que les actes pontificaux relatent de très nombreux miracles. Le culte de Sainte Anne est très répandu en France, notamment en Bretagne où le pèlerinage de Sainte Anne d'Auray est célèbre. Il complète très logiquement celui de la Vierge Immaculée ».



Dernière édition par Joannes Maria le Sam 31 Juil 2010 - 12:43, édité 2 fois
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Message  Invité Dim 4 Juil 2010 - 17:00

Merci Joannes Maria pour cette très belle histoire de Sainte Anne que j'aime beaucoup.

Pouvez-vous me dire ou quelqu'un d'autre, comment Sainte Anne s'est-elle retrouvée en France ? Sa dépouille aurait-elle été ramenée par les Templiers ou autres?????

Merci de votre Lumière.

Lily-Anne
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Message  Invité Lun 5 Juil 2010 - 2:37

Je crois savoir que le Saint Corps a été ramené dès les premiers siècles (comment exactement, je ne sais, mais sûrement par grâce divine pour la Fille aînée de l'Eglise la France et Marie Reine de France à qui elle a été consacrée ainsi qu'à Saint Joseph, terre particulièrement aimé de Dieu comme rappelé tout au long des siècles...je vais poster sur ce forum un autre article sur la guérison miraculeuse qu'opéraient les seuls Rois de France après leur sacre), et que c'est Saint Auspice premier évêque d'Apt qui l'a caché à l'endroit que l'on appelle aujourd'hui crypte qui est l'ancienne catacombe appelé Antrum antiquum et qui subit le martyre pour ne pas avoir sacrifié aux faux dieux.

Bien cordialement en Jésus et Marie.

Joannes Maria.
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